C‘est un mot barbare, dont Luis Enrique n’aurait sans doute jamais aimé connaître la signification. Ce mot amène l’homme qui est alors sélectionneur de l’équipe d’Espagne à 4 heures du matin sur les pistes de l’aéroport de La Valette pour prendre un jet affrété en urgence la veille par sa fédération. Ses joueurs, qui doivent affronter Malte dans la soirée dans le cadre des qualifications pour l’Euro, dorment encore dans leur hôtel de l’île méditerranéenne.